ÉTUDE DE L’ACTIVITÉ ENZYMATIQUE DES CELLULES DE L’IMMUNITÉ INNÉE SOUS L’EFFET DES CEF №1 ET №2

L’étude scientifique de l’effet des Correcteurs d’Etat Fonctionnel №1 «CHASSE AUX PARASITES» et №2 «DÉTOX»sur l’immunité.

Nous vous présentons la traduction des études réalisées par le Dr. Plekhanova, directeur de recherche au laboratoire de biologie cellulaire à Vladivostok, Russie.

N.G. Plekhanova, docteur en sciences biologiques, directeur de recherche au laboratoire de biologie cellulaire et de pathologie auprès du centre de recherche scientifique d’épidémiologie et microbiologie G.P. Somov (établissement public fédéral d’état), Vladivostok.

L.I. Radikova, médecin, physiothérapeute, Vladivostok.

“En 1955, le médecin allemand Hans-Heinrich Reckeweg a formulé la théorie d’homotoxicose de l’organisme humain. D’après cette théorie, la maladie est la manifestation d’une réaction d’un organisme exposé à différentes toxines. Le docteur Reckeweg a défini 6 phases d’homotoxicose de l’organisme. Les 3 premières sont considérées comme tissulaires (réversibles), les autres comme cellulaires (irréversibles ou difficilement réversibles).

Grâce à l’aide que l’on lui apporte par divers moyens au cours des 3 premières étapes, l’organisme retrouve un régime physiologique normal d’homéostasie. Au moment du passage aux phases suivantes, les toxines qui se sont accumulées dans les tissus des organes pénètrent à l’intérieur des cellules pour ensuite les détruire, provoquant ainsi des troubles fonctionnels. Apparaissent alors des maladies telles que les kystes, les fibromes, les papillomes, les adénomes, les thrombophlébites, les tumeurs, etc., ainsi que les dépôts adipeux et les maladies liées à une déformation des tissus conjonctifs des organes. Cela se manifeste sous la forme de processus pathologiques : rhumatisme, polyarthrite, durant lesquels l’acide urique, qui résulte d’une mauvaise assimilation des protéines par l’organisme, s’accumule dans les articulations et les muscles. Au stade final de l’homotoxicose de l’organisme se développent des maladies irréversibles liées à la dédifférenciation des cellules et des organes, ceci quand la défense anticancéreuse assurant la capacité enzymatique du gros intestin est égale à zéro et quand les cellules pathologiques commencent à se former et à se développer sans entrave. Les toxines s’accumulent dans l’organisme suite à un trouble du métabolisme et du fonctionnement des systèmes enzymatiques, mais aussi suite à l’activité de différents types de micro-(virus et bactéries) pathogènes et macroorganismes (parasites intestinaux, etc.), ainsi que celle de facteurs extérieurs, tels que la pollution de l’air, de l’eau, la contamination de l’alimentation, etc.

Le système immunitaire appartient au système principal de défense de l’organisme. Il est capable d’identifier et de détruire les pathogènes. Il existe deux formes de réponse immunitaire de l’organisme : la forme innée et la forme acquise. Le système inné est composé en premier lieu d’éléments-phagocytes cellulaires (neutrophiles, basophiles, éosinophiles, cellules tissulaires ou mastocytes) et de cellules tueuses.

Les neutrophiles ont une durée de vie très courte, mais ils sont extrêmement nombreux. Ils jouent le rôle de déclencheur dans la destruction des pathogènes extracellulaires et de leurs toxines et dans l’initiation du processus d’inflammation. Ces cellules sont les acteurs principaux de la phase aigüe d’inflammation. Tandis qu’un autre groupe de cellules dérivées de monocytes – les macrophages, se réfère aux cellules à longue durée de vie. Outre le fait qu’elles soient des phagocytes professionnels, ce sont des cellules présentatrices d’antigènes qui marquent le passage de la phase aigüe de l’inflammation à la phase chronique.

L’objectif de cette étude est d’examiner les effets des Correcteurs d’Etat Fonctionnel №1 et №2 sur les cellules de l’immunité innée et les bactéries de salmonellose Salmonella enteritidis.

Le contact avec les Correcteurs d’Etat Fonctionnel a été effectué séparément avec des microorganismes de Salmonella enteritidis après 30 et 60 min ; leur durée de vie a été déterminée à l’aide d’un colorant spécifique – l’acridine orange. La technique de fluorescence des préparations d’après la méthode de Bertalanffy permet, grâce à ce colorant, de mener une étude aussi bien morphologique que cytochimique des bactéries.

Pour évaluer la morphologie des bactéries, il a été procédé à une microscopie en fluorescence des préparations aux conditions de fluorescence suivantes : longueur de l’onde d’excitation : 430 nm, filtre barrière : 515 nm. Une culture primaire de neutrophiles et de monocytes/macrophages de sang a été utilisée en qualité de modèle. Une fraction de cellules adhérentes a été obtenue à partir de sang veineux périphérique hépariné (10 U/ ml).

Des cellules n’ayant pas subi les effets des Correcteurs d’Etat Fonctionnel ont été utilisées quant à elles en qualité de témoins. Après exposition, les cellules ont été séchées à l’air et fixées dans des vapeurs de formol pendant 15 min.

Résultats et arguments

Selon la méthode utilisée pour détecter la viabilité des bactéries colorées à l’acridine orange, les microorganismes contenant de l’ADN intact sont colorés en vert. La spécificité de la coloration cytochimique grâce à ce colorant sur l’ADN est déterminée par l’effet sur les acides nucléiques d’une enzyme spécifique : la désoxyribonucléase. Sous son influence, l’ADN des bactéries se disloque, la luminescence verte disparait et apparait une luminescence jaune signalant la présence de l’ADN détruit dans la bactérie. L’étude des propriétés bactéricides des correcteurs a montré que les Correcteurs d’Etat Fonctionnel №1 et №2 possédaient une action cytostatique sur la bactérie Salmonella enteritidis, c’est à dire qu’ils ont la capacité d’arrêter la division cellulaire de ces bactéries.

L’effet le plus puissant a été mis en évidence sous l’action du Correcteur d’Etat Fonctionnel №2 pendant 60 min. La quantité de bactéries de l’ADN détruit n’a pas seulement augmenté, leur morphologie a aussi été modifiée. Sous l’effet du Correcteur d’Etat Fonctionnel №2, des microorganismes de type bacilliforme (sch. 1a) se sont transformés en microorganismes de type cocciforme (sch. 1c, 1d), ce qui indique leur passage d’un état de multiplication active à un état sphérique, c’est à dire à une période de repos.

L’étude de l’activité enzymatique des cellules sur les bactéries, avant exposition aux phagocytes soumis à l’effet des Correcteurs d’Etat Fonctionnel pendant 30 et 60 min, a montré une différence marquée (р<0.05) des indices de stimulation.

Il a été déterminé que le Correcteur d’Etat Fonctionnel №1 stimulait l’activité enzymatique des cellules de l’immunité innée, en particulier les exoenzymes de la membrane cellulaire après 30 minutes d’application.

L’analyse de l’effet du Correcteur d’Etat Fonctionnel №2 a mis en évidence une stimulation des phagocytes révélée par d’importants indices d’activité enzymatique comparativement aux cellules contaminées par le Salmonella enteritidis.

L’activité des neutrophiles et macrophages s’est incontestablement renforcée sous l’effet du Correcteur d’Etat Fonctionnel №2 (р<0.01)

De cette manière, nos données caractérisent une action bactéricide accentuée sur les salmonelles, de plus le Correcteur d’Etat Fonctionnel №2 possède un effet cytotoxique important (stoppant la division) par rapport au Correcteur d’Etat Fonctionnel №1.

Outre ce qui a été mentionné ci-dessus, l’étude complète de l’activité enzymatique des cellules à immunité innée a souligné que les Correcteurs d’Etat Fonctionnel avaient un effet stimulant très marqué sur ces dernières. De plus, en cas de contamination de ces cellules par des bactéries, un effet renforcé des Correcteurs d’Etat Fonctionnel sur l’activité bactéricide des phagocytes a été constaté.

Tout ce qui a été énoncé ci-dessus met en relief les perspectives d’emploi combiné des Correcteurs d’Etat Fonctionnel en qualité d’agent immunomodulaire utilisé pour améliorer les performances du système immunitaire dans son ensemble et augmenter la résistance de l’organisme aux agents pathogènes des maladies entériques infectieuses plus particulièrement. L’augmentation de l’activité des cellules de l’immunité innée entraîne un renforcement de leur fonction pour détruire non seulement les agents pathogènes, mais également différents résidus dégradés des cellules de l’organisme, et contribue, grâce aux Correcteurs d’Etat Fonctionnel №1 et №2, à la détoxification de l’organisme”.

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